Extrait de la critique de Les deux vies de Baudouin
En commençant Les deux vies de Baudouin, je me suis dit : « Oh non, je ne vais pas encore écrire un billet sur Fabien Toulmé ! ». Ben raté, il n’a pas qu’à être si doué ! Parce qu’en fait, en refermant le livre, j’avais pris une sacrée claque, le coeur serré, la gorge nouée par l’émotion et, avouons-le, les larmes qui coulaient sur les joues.